Saison culturelle 2011/2012

Comme chaque année, nous profitons de la proximité du Théâtre de Puteaux en prenant un abonnement vers fin août/début septembre pour toute la saison. Cela nous garantie au minimum une sortie tous les mois ou presque à un prix très compétitif. Nous choisissons plusieurs spectacles variés. Ça va du théâtre au concert en passant par un ballet. Nous avons décidez de vous faire partagez nos coups de coeurs comme nos déceptions.

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Dimanche 15 janvier 2012

Grands pas classiques et chorégraphes du 20e siècle

avec : Karl Paquette, danseur étoile de l’Opéra de Paris et 7 danseurs solistes du ballet de l’Opéra National de Paris

Berceau de la danse classique, le Ballet de l’Opéra de Paris, héritier d’une longue tradition, est sans conteste l’institution classique la plus renommée au monde tant pour son école, la qualité de ses danseurs mais aussi l’étendue de son répertoire. Le Ballet de l’Opéra s’est toujours affirmé comme une compagnie de répertoire.

Parmi les jeunes danseurs solistes de l’Opéra de Paris que vous verrez danser aujourd’hui, se trouvent peut-être les étoiles de demain. Et pour toucher un public encore plus vaste, un groupe constitué de danseurs solistes à l’Opéra de Paris, effectue des tournées et donne l’occasion à ces réels jeunes talents, en passe de devenir étoiles, de briller et d’étonner.

Notre avis

Nous avons tout bonnement ADORE ! Quelle élégance, quelle force ! On a passé un très bon moment. De La belle au bois dormant au Lac des Cygnes, en passant par Don Quichotte, Roméo et Juliette ou Giselle, la danse a éveillé nos sens et on s'est laissé porté par la musique, les costumes, les histoires d'amour torturé et le talent de ces jeunes artistes. Ce spectacle nous a permis, nous novice, de faire le tour en quelque sorte de l'histoire de la danse en décryptant l'évolution chorégraphique et sentimentale du pas de deux.

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Jeudi 12 janvier 2012

Henri IV le bien-aimé

avec : Jean-François Balmer, Béatrice Agenin, Maxime D’Aboville, Coralie Audret, Xavier Lafitte, Philippe Rigot, Hubert Drac, Maud Baecker

Henri IV, le seul roi dont « le peuple ait gardé la mémoire », un roi hors du commun, un visionnaire, grand pacificateur, dont la « dernière folie », sa passion amoureuse pour une beauté d’à peine 15 ans, aura failli porter la guerre dans l’Europe entière et lui coûtera la vie.
Alors qu’aujourd’hui, le monde entier est troublé par le fanatisme religieux, l’intolérance et le terrorisme, et que plane la sourde menace de nouvelles guerres de religions, peut-être est-il bon d’évoquer à la scène la mémoire de ce fondateur de la liberté des cultes et de la tolérance, qu’était le bon Roi Henri.

Notre avis

C'était un bon moment mais sans plus. Ce fut l’occasion de redécouvrir une partie de l’histoire de France et plus particulièrement d'un Rois. Par contre nous avons trouvé ça un peu long, ça s'essouffle par moment et Jean-François Balmer a cherché un peu ses mots à plusieurs reprises. 

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Jeudi 8 décembre 2011

Kramer contre Kramer

avec : Gwendoline Hamon & Frédéric Diefenthal.

Le jour de l’anniversaire de son fils, Joanna Kramer décide de quitter son mari Ted, lui laissant sur les bras Billy, âgé de six ans.
Ted est alors contraint de concilier ses activités professionnelles avec l’éducation de son enfant. Il doit s’occuper des tâches ménagères dont, jusqu’à présent, il laissait la responsabilité à son épouse. Complètement débordé dans les premiers temps, il s’habitue petit à petit à son double rôle de publicitaire et d’homme au foyer, se révélant même un excellent père célibataire. De son côté, Billy se fait peu à peu à l’absence de sa mère et s’attache de plus en plus à Ted.

Jusqu’au jour où Joanna revient réclamer son fils. Ted Kramer se lance alors dans une bataille juridique pour avoir la garde de Billy.

Notre avis

Très sympa. On a passé un très bon moment. Le garçon qui joue le jeune Billy est très bon ! Le décors est très sympathique puisqu'il reprend certaines lettres de Kramer et elles se transforment tantôt en porte, en lit, en bar, etc.  Il y a de l'humour, de la sensibilité, les scènes du quotidiens sont justes. Il n'y a pas de morale, l'auteur ne prend pas partie, les personnages sont blessés mais on les sens profondément honnêtes, vouloir aller de l'avant et ça fait du bien !

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Mardi 15 novembre 2011

« Les Confessions de Rousseau »

Stéphane Rousseau revient en France avec son nouveau spectacle !

Il nous invite à entendre ses confessions, sans concession ni censure. Dans un décor de rêve, il nous plonge dans sa réalité et nous confie certains des épisodes les plus émouvants, croustillants et irrésistibles de sa vie.

Usant de tous ses charmes et de ses multiples talents, il raconte, chante, danse et même, peint !

Notre avis

Super drôle ! Nous étions au premier rang et j'ai eu peur un moment qu'il me désigne pour aller "jouer" un truc à mes dépends sur scène, mais non heureusement. Il chante assez bien et nous avons eu droit à une interprétation de la chanson "Si j'étais une femme" plutôt drôle. Le sketch de fin était "Chico Rico" avec la fameuse phrase "Je respecte énormément les femmes : j'en ai respecté une ce matin, une ce midi, et je vais en respecter une ce soir." Bref c'était une soirée détente à 100%.

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Samedi 1er octobre 2011

Missa Sacra de robert Schumann

« Concentrer son énergie sur la musique sacrée, voilà sans doute le but suprême de l’artiste ». On serait tenté d’attribuer ce témoignage à bien des compositeurs, avant de songer à Robert Schumann.
La Missa Sacra de Schumann (1852), oeuvre magnifique et quasiment inconnue, sera interprétée pour la première fois sur instruments d’époque.

Témoignage de l’amour du compositeur pour l’écriture contrapunctique, c’est une des plus belles créations schumaniennes en matière orchestrale, que Geoffroy Jourdain choisit ici d’associer à des grandes oeuvres a capella du XIXe siècle : un programme aux accents germaniques emprunt de l’exaltation romantique.

Ce programme inédit réunit 37 chanteurs, dont une mezzo-soprano soliste, et 40 instrumentistes sur instruments d’époque.

Notre avis

C'était assez impressionnant de voir 37 chanteurs et 40 instrumentistes sur scène à tous jouer et chanter en même temps. Mais je me rend compte que je n'ai pas l'oreille assez "éduqué" pour suffisamment apprécier.